«Contrairement à ce que certains bruits pourraient laisser entendre la politique d'aval de l'OniGC (Office national interprofessionnel des grandes cultures) n'est pas remise en cause», a tenu à souligner Patrice Germain, directeur général adjoint de l'Office, mercredi à l'issue de la réunion du conseil de direction spécialisé céréales.
L'objectif de la politique d'aval est de «sécuriser les organismes stockeurs auprès de leurs banques» dans leurs approvisionnements en céréales.
Les années précédentes, le système a été adapté aux nouvelles contraintes juridiques européennes, et les montants «avalisés» ont été réévalués en 2007 en raison de la hausse des cours, a rappelé Patrice Germain.