Un rapport des ministères de l'Agriculture et de l'Economie envisage la contribution possible des innovations technologiques à la réduction du gaspillage alimentaire.
Ce rapport, mis en ligne le 21 novembre 2014, se présente comme « une analyse d'envergure de la possible contribution des innovations technologiques à la réduction du gaspillage alimentaire en fin de chaîne ». Elle est « centrée sur les innovations technologiques pouvant être mises en œuvre par les industries agroalimentaires pour agir sur le gaspillage au niveau de la distribution, de la restauration et de la consommation finale par les ménages ».
Emballage et conservation des aliments
Le rapport identifie des pistes pour augmenter l'effort de recherche en fournissant des recommandations destinées aux différents acteurs de l'innovation agroalimentaire.
L'étude a consisté en une revue détaillée de 26 innovations technologiques dans le domaine des emballages et des technologies de conservation des aliments (volet 1), une analyse de leur perception par les consommateurs (volet 2), une évaluation de leur adoption par les différents acteurs de la chaîne agroalimentaire (volet 3), une évaluation de leur attractivité actuelle et à dix ans (volet 4) ainsi qu'en l'élaboration de recommandations (volet 5).
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lundi 24 novembre 2014 - 18h07
Ce qui est toujours étonnant, c'est de voir l’État s'occuper de ce qui ne le regarde pas. Mais qui a donc intérêt à gaspiller, je vous le demande, vu le coût que cela induit? L’État s'imagine qu'il est plus intelligent sans doute? Autre point plus technique: ce sont bien les autorités françaises qui veulent interdire le bisphénol A dans les boîtes de conserve entre autre? Malgré ses défauts, le bisphénol A procure un intérêt indéniable pour la conservation des aliments donc pour la lutte contre le gaspillage alimentaire. D'ailleurs, les autres pays européens hésitent à suivre la France dans cette interdiction. Une fois de plus, notre État générera des problèmes qu'il se proposera de résoudre ensuite. Politique de gribouille.