Publié le mercredi 27 avril 2011 - 18h47
Après un week-end pascal, où les ventes de mouton se sont assez bien tenues, la demande est un peu moins active. Seul l'effondrement de l'offre sur de nombreux marchés empêche les acheteurs de peser sur les prix.
La marchandise présente est limitée en nombre, légère et de qualité très commune. Dans ces conditions, les opérateurs travaillant de l'agneau français ont du mal à couvrir les besoins de leurs clients.
Les très bons laitons (U et E) de moins de 19 kg de carcasse se valorisaient encore entre de 6,30 et 6,63 €/kg net ce matin à Parthenay. Et jusqu'à 6,90 €/kg à Sancoins.
Au niveau européen, l'arrivée des agneaux irlandais ne devrait pas trop influencer le marché car les disponibilités sont également mesurées et les tarifs se sont sérieusement relevés par rapport à l'an passé.
En brebis, certains éleveurs vendent dès maintenant leurs réformes, craignant de voir les prix dégringoler après le 10 mai. D'où des disponibilités qui commencent à gonfler sur les marchés et qui couvrent largement les besoins des acheteurs.
Les disponibilités s'etoffent, tandis que les besoins se réduisent.
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